Caty Cherche Un Bikini Une Suite.
Nouvelle suite.
En accord avec Lexdepenny, jai décidé décrire la suite de son récit « Caty cherche un bikini ».
Merci pour sa confiance.
Noubliez pas daller découvrir le récit original avant de continuer votre lecture.
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Elle est seule devant sa tasse de thé quand David vient la chercher. Elle a toujours les tétons visiblement durs à travers le tissu fin de son chemisier blanc, mais elle semble ne plus en être consciente. Quand il lembrasse, il note sur lépaule du chemisier une petite tâche plus jaunâtre, qui témoigne de la réalité de ce qui sest passé.
« - Ça va ? Le shopping a été une réussite ?
« - Euh, pas trop. Laure a changé davis pour la robe.
Elle fait de son mieux pour avoir lair normal, mais David ne rate pas le petit tremblement nerveux dans sa voix. Il décide dinsister un peu.
« - Vous en avez mis du temps. Elle a trouvé autre chose ?
« - Non, elle na rien acheté, finalement, ajoute-t-elle. On sest juste promenées un peu et on a fait du lèche-vitrine.
David a un mal fou à sempêcher de rire. Du lèche bite, plutôt ! Il va falloir cogiter longuement au sujet des événements de cet après-midi.
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Le soir, Caty se fait tendre, David garde ses distances, sans la repousser il ne répond pas à ses avances, il regarde la télé soi-disant ne voulant pas rater le film qui commence à 23 heures. Caty va se coucher seule, un peu triste, elle aurait voulu effacer dans les bras de son mari le souvenir de cet après-midi, effacer la honte quelle a ressentie en le voyant arriver au café.
Le matin, voulant se faire pardonner, elle se love contre lui, le prend dans sa bouche pour une petite fellation comme elle en a lhabitude, mais pas comme dans le sex-shop, pas comme avec cet inconnu, elle nose pas, elle a peur de passer aux yeux de son mari pour la salope quelle a été hier.
Lui ne dit rien, il jouit sur ces seins, et la laisse aller seule dans la salle de bain au lieu de la rejoindre comme dhabitude.
Il sait, elle ne sait pas. Dans la cuisine, devant leur bol de café, il ne dit pas un mot, toujours dans ses pensées. Tandis que Caty se sentant toujours coupable nose rompre le silence.
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CATY
Quai-je fait ? Je suis folle, pourquoi avoir suivi Laure dans cette boutique, cest bien la première fois que jentre dans un sex-shop. Pourquoi lavoir écouté ? Sûrement la curiosité. Mais après
Avoir sucé un inconnu ? Non pas possible, ce nest pas moi ça. Vite retrouver mon David, mon dieu, sil savait.
Je ne voulais pas paraître gourde devant Laure, elle mencourageait, jai dû faire un effort pour sucer ce mec, le salaud en a profité. Cest vrai que je me suis surpassée, je nai jamais sucé David comme ça, il faudra que je lui fasse, mais pas tout de suite, il ne comprendrait pas le changement, je vais y aller progressivement.
Laure, quelle salope, elle ma tenu la tête, je ne pouvais rien faire dautre quavaler, cest dégueulasse, il était peut-être sale, malade. Après elle ma embrassé, ce nétait pas désagréable, mais jai vraiment limpression davoir trompé deux fois mon chéri. Jai honte de moi. Comment vais-je pouvoir le regarder en face ? me regarder en face ?
En plus, le type nous a payées, cest Laure qui la demandé. Sur le trottoir en sortant, elle a voulu me donner les 50 puisque cest moi qui ai tout fait, enfin presque. Jai refusé, je ne suis pas une pute tout de même. Je naurais jamais cru quelle accepterait cet argent, dire quelle vient là souvent, si son mari savait.
Elle ma fait jurer de ne rien dire, pas folle, jaimerais tout oublier et que personne nen sache jamais rien.
Qui ça pouvait être ? Un habitué ? Un pauvre type en manque ? Il a éjaculé dans ma bouche, mais il na pas pu jouir, pas comme ça.
Je nen reviens pas, jai trompé mon mari.
« Sucer nest pas tromper » quelle connerie ! Je nai pas joui, jétais trop stressée pour prendre du plaisir, déjà le lieu, la situation, brrr ! Heureusement un inconnu, je ne le connais pas, il ne me connaît pas, pas de trace.
Non, je nai pas trompé mon chéri ! Comment David pourrait-il me pardonner, si je narrive à me pardonner à moi-même.
David et moi, nous avons toujours été complice, nos jeux, mes petites exhibes, sans lui ça na aucun intérêt. Jaime cette connivence qui nous lie, même si jétais gênée quand il ma enlevé mon soutien-gorge, je savais quon pouvait voir mes seins nus en transparence de ce chemisier. Avec lui je ne risquais rien, ce nétait quun jeu bien innocent. En accompagnant Laure faire du shopping, jétais embarrassée pour aller dans les boutiques, javais limpression que tout le monde me regardait.
Pourquoi avoir suivi Laure dans ce sex-shop ? En sortant, jai téléphoné immédiatement à David, pour me raccrocher à lui, comme si cet après-midi navait jamais excité. Au café, jai essayé de paraître décontractée, il ma posé un tas de questions comme sil se doutait de quelque chose, impossible, mais je ne savais quoi lui dire, je culpabilisais.
Ce soir on baisera, tout va rentrer dans lordre, je lui dirais que mon exhibe seins nus sous le chemisier ma mis dans cet état. Il sera flatté et fier de lui.
Étonnant, chez nous, il parle moins, il a lair soucieux. Il veut voir un film à la télé, quelle idée. Je pars me coucher seule, jaurais tant aimé quil me prenne dans ses bras, me libère de ce poids.
Au matin, je prends linitiative, petite fellation, je me retiens de faire comme hier avec lautre. Pas de changement, comme dhabitude du bout des lèvres, et le laisser jouir sur mes seins.
Dun coup, jai peur. Et sil savait ? Non, je dois me faire des idées, comment pourrait-il savoir ?
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CATY
Deux jours passent, la plage, le resto, petites balades du soir, je pense toujours à cet après-midi où je me suis perdue. Anxieuse, jaimerais oublier. Difficile, David me pose sans cesse des questions anodines, mais insistantes, aurait-il des soupçons ? Cest impossible. Je dois arrêter de me faire tout ce cinéma, sûrement la culpabilité qui me ronge.
Il faut que je me persuade. Je ne suis pas coupable, je ne suis pas coupable, pas coupable.
Jessaie déviter Laure, je ne réponds pas à ses messages. Mais ça ne peut pas durer, cela risque de paraître louche, ce sont nos amis, nous sommes venus en vacances pour les voir. Ce midi, nous nous retrouvons pour déjeuner avec elle et son mari.
A la fin du repas, en prenant le café, Laure sadresse à moi :
« - Cet après- midi, on laisse tomber nos hommes, ça te dit un peu de shopping ?
« - Où veux-tu aller ?
« - Dans les boutiques, comme lautre jour. Jaimerais bien trouver une petite robe cette fois.
Sans oser regarder David, je lui murmure :
« - Non, tu es folle.
Quand elle a une idée en tête :
« - Allez viens avec moi. Tu me conseilleras, on aura plus de chance aujourdhui.
David semble retissant. Je dois encore me faire des idées, toujours cette culpabilité :
« - Je peux vous accompagner, je te donnerais aussi mon avis. Les conseils dun homme sont souvent utiles. Jaide souvent Caty à choisir, pas vrai ma chérie ?
Je saute sur loccasion :
« - Bonne idée, viens avec nous, cest vrai que tu es toujours de bon conseil.
Mais Laure ne lentend pas de cette oreille :
« - Ta, ta, ta, ce nest pas pour les mecs.
Je nose pas refuser de laccompagner. Sans me laisser le temps de réfléchir, Laure me prend par le bras et mentraîne vers la rue commerçante. Jai juste le temps dentendre David me dire :
« - A tout à lheure chérie, je vais en profiter pour changer le robinet qui fuit dans la salle de bain.
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DAVID
Belle excuse, je ne suis pas bricoleur. Jai eu peur que Patrice, le mari de Laure, me propose de rester avec lui, il me fallait trouver une raison pour rester seul. Je veux pouvoir les suivre, me doutant de là où elles vont, avec la peur davoir raison.
Bingo, après un détour par le centre commercial, Caty et Laure arrivent devant le sex-shop, jenrage. Caty semble hésiter, entraînée par Laure, elle pénètre dans ce lieu de perdition. Jai sorti mon téléphone, quelques photos sajoutent à celles faites il y a deux jours. Cette fois jaurais des preuves accablantes à lui mettre sous le nez.
Jentre à mon tour. Aïe, jai failli me faire repérer, elles sont avec le patron qui leur montre une série de sex-toy. Maintenant, elles se dirigent vers les vêtements sexy. Il y en a pour tous les goûts, Caty semble intéressée, pour me faire une surprise ? Jen doute, pour qui alors ?
Sans hésiter, elle va dans une cabine dessayage, le vendeur reste à côté toujours prêt à donner un conseil, à aider à passer le vêtement. Le rideau nest pas totalement fermé, je ne peux rien voir doù je suis, mais lui est mieux placé, il ne sen prive pas. Dimaginer quil a sous les yeux ma femme qui se change, me rend fébrile.
Laure ouvre le rideau en grand, Caty a passé une guêpière rouge et noire, string, fesses à lair, ses seins débordent du bustier. Quelques hommes se sont approchés et la regardent sans vraiment sen cacher.
Laure la félicite :
« - Tu es superbe ma chérie, David va adorer.
Il est vrai que jadore, ça mexcite de la voir ainsi. Je ne suis pas le seul, ce qui mexcite encore plus.
Caty tourne sur elle-même pour se regarder dans la glace, tous peuvent admirer son côté pile et son côté face. Elle referme le rideau pour passer une autre tenue choisie par Laure. Je les entends chuchoter :
« - Non, pas ça tout de même, il y a du monde.
« - Pas grave, je sais que tu aimes te montrer. Si David te le demandait tu le ferrais non ?
« - Avec lui, ce nest pas pareil.
« -
ça te va bien, jouvre.
Ouah ! Caty porte une nuisette blanche très courte avec un peu de fourrure dans le bas, elle a gardé son string, mais pas son soutien-gorge. Les hommes se rapprochent, ses fesses, ses seins sont bien visibles, je bande de la voir sexhiber de la sorte, je naurais jamais osé le lui demander. Elle se tourne, se retourne, je devine sa toison brune, tous les hommes présents ont les yeux rivés sur elle :
« - Cest beau. Mais non, je nachèterais pas sans David. Il faudrait lui dire que je suis venue ici avec toi.
Traitant son amie de gourde, Laure met fin à lessayage au grand regret de son public, et entraîne Caty vers les cabines du fond. Jai bien limpression quelle hésite, mais elle suit, se doutant de ce qui risque de se passer, avec tous les hommes quelle vient dexciter.
Elles retrouvent leur cabine préférée, enfin celle où il y a deux jours elle ma sucé et a accepté que je jouisse dans sa bouche, sans savoir que cétait moi, son mari. Mon sang bouillonne, elle va encore me tromper, avec moi ? Vite, je dois arriver avant les mecs qui les suivent à la trace.
Deux hommes tournent déjà autour des cabines, je les bouscule pour être le premier. Ils grognent, mais je men fous.
Jécoute contre la paroi, avec le Gloty Hole rien ne méchappe de leur discussion à voix basse. Caty a envie de partir, elle a encore honte de la dernière fois. Laure la rassure, cette fois cest son tour, Caty pourra se contenter de regarder, pourtant elle hésite.
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Pour les décider, je me racle bruyamment la gorge, les voix sarrêtent net. Je frappe deux coups au-dessus du trou entre nos cabines.
Une main apparaît, celle de Laure. Je mapproche, pose ma queue déjà bien raide sur cette main tendue qui commence une petite branlette excitante. Quelques photos avec mon tel. Avec lobscurité, elles risquent de ne pas être très belles, tant pis, le flash ce ne serait pas discret. Je passe ma queue par le trou, la bouche de Laure ne se fait pas attendre, elle commence une lente fellation, jen profite un moment, mais je ne suis pas là pour ça.
Je masque ma voix, avec un fort accent étranger :
« - Vous êtes deux, jaimerais aussi profiter de ta copine.
Laure sarrête de sucer, jimagine les gestes entre les deux femmes, seule réponse, un « non » timide de ma femme. Tandis que Laure reprend ma bite entre ses lèvres, je surenchéris :
« - Je préférerais une bonne baise, tu es partante ?
Un double « oh ! » ponctue la fin de ma phrase, jimagine Caty outrée de la proposition. Pas autant que de la réponse de Laure :
« - Daccord, tu peux baiser ma copine pour 200 , cest daccord ?
Voix affolée de ma femme :
« - Tes folle !
Laure insiste :
« - Tu ne peux pas reculer. Faut faire ce quon a décidé. Il faut aller jusquau bout maintenant.
Jen veux plus :
« - Daccord toi ou ta copine, ça me va. Mais pour 200 , je vous veux voir à poil toutes les deux.
Petit conciliabule, cette fois cest Caty qui répond en riant :
« - Hi, Hi ! Bon, daccord.
Laure chuchote :
« - Allez à poil ma belle.
Et plus fort :
« - Cest daccord. Tu as largent ?
« - Oui, oui. Comment fait-on ? Je viens dans votre cabine ?
Petite discussion, puis Laure :
« - Daccord, vient.
Je suis abasourdi. Ma femme, ma Caty va-t-elle accepter de recevoir nue, un inconnu qui vient pour la baiser :
« - Ok, jarrive, ouvrez-moi votre porte.
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Moment de vérité, je prépare mon téléphone pour immortaliser la confrontation qui ne devrait pas durer longtemps. Je vais les confondre.
Jécarte les hommes en attente, devant leur porte entre-ouverte. Laure murmure à Caty « fait comme moi, enlève ta culotte ».
Avec un peu dappréhension, je referme la porte. Lobscurité est ma complice. Jai prévu de les aveugler avec le flash en prenant des photos. Impossible de me reconnaître. Je distingue Laure debout entièrement nue, et Caty en train denlever son string dernière barrière à sa pudeur. Jimagine que la situation doit les exciter toutes les deux autant que moi. Je les mitraille plusieurs fois, malgré les protestations de Laure :
- Arrête ça !
Aboule les 200 , et fais bien jouir ma copine, moi je te caresserais si tu as besoin daide.
Je masque toujours mon visage avec mes mains et mon téléphone, retardant le moment de vérité.
Caty sest blottie dans un coin. Laure la tire par la main et la tourne vers moi :
« - Elle est belle ma copine, elle te plaît ? Baises là, et fais la bien jouir.
Dernière photo, nues toutes les deux face à moi. Laure tend la main pour recevoir leur dû.
Les effets du flash se dissipent. Cest le moment, je baisse mes mains qui cachaient mon visage, et regarde Caty fixement, sans un mot.
Elle sursaute :
« - David ! Non, cest toi ? Quest-ce que tu fais là ?
« - Et toi ?
Dans un reflex ridicule, Caty essaie de cacher sa nudité, et se masque la tête avec les mains, comme si elle ne voulait pas être reconnue.
Je regarde Laure : « Salope ».
Je regarde ma femme : « Pute ».
Une seule idée, fuir, je sors en trombe. Voyant deux mecs qui attendent, je les apostrophe bien fort pour être entendu de ma femme :
« - A votre tour.
Ils se précipitent dans la cabine, tandis que dehors je retrouve ma planque pour observer la sortie. Enfin je reprends mon souffle, ma femme ? Non ce nest pas possible ? Je crois rêver, un mauvais rêve, je vais me réveiller.
Parti trop vite, David ne peut pas entendre la discussion entre Laure et Caty sous les regards incrédules des deux hommes qui commencent à se déshabiller.
Caty pleure à chaudes larmes, Laure essaie de la calmer :
« - Tu te rends compte, dans quoi tu mas entraînée, je noserais plus jamais regarder mon mari en face. Pute, il ma traitée de pute. Jai honte. Il va vouloir me quitter.
« - Mais non ma chérie, à toi de lui faire croire que tu savais que cétait lui, que cétait un jeu entre nous. Vous vous réconcilierez sur loreiller.
« - Il nest pas si bête, il ne me croira jamais. Déjà être venue ici. Non je suis perdue. Cest certain, il va me quitter.
« - Il taime. Raconte-lui le plus gros bobard, plus cest gros plus il y croira.
Deux minutes après, je vois Caty affolée sortir en réajustant sa tenue, regarde à droite et à gauche, elle semble me chercher, elle a les yeux rouges. Jen profite pour compléter ma collection de photos,
Elle part en courant, sûrement chez nous, pour me retrouver. Laure est restée dans la boutique, elle doit vouloir profiter des deux hommes qui attendent.
Que vais-je faire ? Elle me dégoûte, je ne pourrais plus jamais la toucher. Jerre en ville jusquà la tombée de la nuit. Quel mensonge va-t-elle pouvoir inventer ?
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Avant de rentrer, ses pas ramènent David devant la fameuse boutique. Il décide de se renseigner pour en savoir plus sur les activités occultes de cette officine.
Il tourne entre les rayons, fait semblant de chercher et sadresse au comptoir. Il est de passage, il aimerait rencontrer des femmes pour passer un moment.
Le patron a lhabitude de ce genre de demande, il sort un registre. Cest une liste de femmes, qui occasionnellement viennent arrondir leur fin de mois. Le patron précise :
« - Pas des prostitués, mais de belles bourgeoises qui aiment le sexe et veulent en profiter sans avoir à sencombrer dun amant.
« -
« - Ici, nous sommes discrets, aucun mari nest jamais venu se plaindre.
Machinalement, David tourne les pages en écoutant les commentaires. Tient, sous le nom de « Toujours jeune » la photo de Thérèse la patronne de Laure ; puis celle de Laure inscrite depuis trois ans sous le nom de « Belle Brune ». Le vendeur remarque lintérêt quelle suscite :
« - Excellent choix, Belle Brune est très demandée. Elle vient régulièrement. Vous navez pas de chance, elle était là en début daprès-midi, avec une nouvelle recrue. Elle nous amène de temps en temps des jeunes femmes. Celle-là est très belle, elle devrait vous plaire aussi, une blonde. Cest la seconde fois quelle vient, je pense que la prochaine fois elle sinscrira chez nous. Elle a lair très motivée et vu son physique, nous sommes certains quelle plaira à tous nos clients.
David serre les poings, il essaie de garder son calme.
Il rentre chez lui, il va bien falloir affronter Caty.
Elle aussi a cherché quoi dire à son mari. Suivant les conseils de Laure, elle a imaginé tout un scénario.
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DAVID
Quand jarrive, elle est dans un fauteuil, les yeux rougis, dès quelle me voit, tremblante, elle se jette dans mes bras :
« - Pourquoi es-tu parti si vite mon chéri, jallais texpliquer.
« -
« - Tu rentres bien tard.
« - Je ne voulais plus te voir. Tu nes quune salope. Quest-ce que tu faisais là-bas ?
« - Tu es fou, que tu vas imaginer ? Tu ne crois tout de même pas
Voyons soit sérieux, tu me connais. Tu as vraiment cru que
Tu es vexant. Nas-tu pas compris quavec Laure, on te faisait une blague ? Que ce nétait quun jeu.
« - Un jeu ? Tu te fous de moi, tu allais baiser avec un inconnu juste par jeu ? Je ne suis pas mauvais joueur, mais tout de même.
« - Idiot, pas un inconnu, nous savions que cétait toi. Cest ça ta confiance ? On a juste voulu te faire une blague, et toi tu mas cru capable de
Oh ! Je suis choquée que tu puisses imaginer une seule seconde
« - Ben voyons, un peu facile comme excuse.
« - Arrête, tu tenfonces. Avec Laure, on a voulu te donner une leçon, pourquoi nous avoir suivis ?
Jétais piégé, quelle raison lui donner ? Ne pas lui répondre :
« - Une leçon ? Dans un sex-shop en baisant avec nimporte qui.
« - Mon pauvre chéri, Laure ta repéré quand tu es rentré, nous étions avec un vendeur. Surpris de ta présence, elle ma proposé de te faire cette blague. Jai hésité, ce nétait pas bien malin, mais te connaissant, je me doutais quon en rirait tous ensemble après
« - Si tu savais comme ça ma fait rire.
« - Tu as bien vu quand jai essayé des tenues sexy, rien que pour toi. Ne me dis pas que ça ne ta pas excité, je ne te croirais pas. Javais des spectateurs, ça a dû te faire bander. Tu es le premier à le vouloir quand tu maccompagnes acheter ma lingerie. Cette fois, tu nas pas aimé ?
Elle essaie de membrasser, je la repousse vivement :
« - Chéri, non, cest trop bête.
« - Et après ?
Dans la cabine tu étais entièrement nue, sans défense, nimporte quel type aurait pu te violer
Et jy pense, tu as laissé Laure me sucer la bite, sans rien dire ?
Elle veut avoir le dernier mot, la meilleure défense cest lattaque :
« - Cest vrai, mais toi aussi tu le savais, tu tes laissé faire. Jai pensé que tu exagérais. Laure navait pas lair de sen plaindre, cétait la rançon de cette blague. Je ne ten veux pas mon chéri.
« - Manquerais plus que ça.
« -
« - Je ne te crois pas, tu te moques de moi. Depuis combien de temps fais-tu la pute, à 200 la passe. Cest toi que je devais baiser pas Laure.
« - Tu es blessant à la fin. Jai suivi Laure pour acheter une tenue coquine pour toi.
« - Ben voyons, et je te retrouve à poil.
Dun ton exaspéré :
« - Tu nas pas compris, on voulait te donner une leçon pour nous avoir suivis. Cest stupide, je le reconnais. Excuse-moi.
« -
« - Cest ma faute, jaurais dû arrêter plus tôt ce jeu idiot. Jai trouvé que la plaisanterie allait trop loin quand Laure sest déshabillée et ma demandé de me mettre nue. Je naurais pas dû
Caty ne change pas de version. Mais, cest la seconde fois, comment va-t-elle justifier mavoir sucé et avoir accepté que je lui jouisse dans la bouche deux jours avant ? :
« - Tu te fais juste baiser, où tu suces comme Laure ? Tu laisses les mecs jouir dans ta bouche ?
Caty rougit, elle bafouille :
« - Arrête maintenant, ce nest plus drôle. Cétait une blague idiote, daccord, mais ce nétait quune blague, tu ne vas pas men vouloir toute la soirée. Cest la première fois que jallais dans un sex-shop.
Sans tenir compte de sa remarque. Jinsiste lourdement :
« - Tu naimerais pas avaler le sperme dun inconnu ?
« - Tu deviens fou. Si cest ton dernier fantasme, je te le dis tout net, trouves-toi quelquun dautre.
Jentre dans son jeu :
« - Pourtant, dhabitude, tu aimes bien nos petits jeux.
« - On a toujours été complice. Souvent tu me pousses à en montrer plus que ce que je voudrais, je le fais parce que je taime. Cest pour ça que jai voulu te faire plaisir en essayant ces tenues très déshabillées, mais jamais je ne laurais fait si tu navais pas été là. Lautre jour tu mas à être nue sous mon chemisier, je nen menais pas large dans les boutiques quand Laure essayait ses robes. Je sentais des regards qui me gênaient plus quils ne mexcitaient.
« - Donc, cest la première fois que tu allais dans ce sex-shop ?
« - Encore ? Il faudra te le dire combien de fois. Sans Laure qui voulait que je ramène une tenue coquine, je ny serais jamais allée. Merci pour ta confiance ?
« - Je dois dire que ma confiance
Dommage.
« - Quoi ?
« - Jespérais plus dhonnêteté de ta part.
Caty tremble.
Sans rien dire, je lui montre les photos de la première fois, sa sortie sur le trottoir. Elle ne comprend pas :
« - Tu mas prise en photo quand je sortais ? Pour quoi faire ?
« - Regarde mieux. Comment es-tu habillée ?
« - Oh !
« - Cétait il y a deux jours. Une heure après, on se retrouvait dans notre café habituel, tu te souviens.
Caty est effondrée :
« - Tu nous avais déjà suivies ? Tu savais, et tu ne mas rien dit.
« - Jaurais aimé que ça vienne de toi.
« - Laure ma entraînée, pour me montrer des tenues sexy, des sex-toys, je nétais pas à laise. Je nai pas osé ten parler.
« - Alors, ce jour-là, Tu as baisé ou tu as sucé un inconnu ?
Caty est blême, elle bafouille :
« - Mais non, tu es ridicule. On était juste allé voir, je ne savais même pas quil y avait des cabines au fond.
« - Tu mens.
« -
« - Je vous ai suivies dès que tu es partie avec Laure, je voulais voir leffet de tes seins nus sous ton chemisier. Jétais là quand vous avez fait les boutiques du centre commercial. Et je vous ai vu aller dans ce sex-shop que Laure semblait bien connaître.
« - Elle voulait juste me montrer des jouets coquins, rien de mal. Je nai pas osé ten parler après, je nétais pas très fière.
« - Donc, avec Laure, tu nes pas allée dans une cabine ? Tu nas pas sucé un homme, ? Il na pas joui dans la bouche ? Tu nas pas embrassé Laure ? Et tu nas pas été payée 50 ?
Caty devient blanche, elle sembrouille :
« - Tu, tu es fou
Quest-ce que tu racontes ?
Je reprends la voix dil y a deux jours « Tes là pour sucer, non ? Alors suce, salope ! ».
« - Cette voix
Cétait
« - Et oui, cétait déjà moi, mais tu ne le savais pas. Tu nas même pas reconnu ma queue. Tu mas sucé croyant sucer un inconnu, tu nes quune salope.
« - Non, cest Laure.
« - Laure, Laure, toujours Laure, tu joues linnocente, mais ce nest pas dans sa bouche que jai joui.
« - Pardonne-moi, cest Laure qui ma e, je nai pas osé lui dire non.
Elle est effondrée, elle ne peut plus nier lévidence, son mensonge, sa trahison :
« - Mon chéri, excuse-moi, je ne voulais pas passer pour une gourde devant Laure. Elle a sucé, enfin elle ta sucé, et ma demandé de le faire aussi. Jai hésité, et puis
Oh ! Comme je regrette mon chéri, je naurais pas dû. Elle ma tenu la tête pour que lhomme, enfin toi, puisse jouir dans ma bouche. Après elle ma embrassée, ça ma dégoûté, on sest disputée en sortant. Quand je tai retrouvé au café, comment te dire tout ça, javais trop honte.
« - Si je comprends bien pour ne pas passer pour une gourde, tu as préféré perdre ton honneur, et ton mari.
« - Mais non, ce nest pas grave puisque cétait toi, je ne tai pas trompé.
« - Tu ne le savais pas, cest lintention qui compte. Et aujourdhui, tu crois que jai avalé ton histoire. Tu étais prête à te faire baiser par un inconnu, pour 200 , comme une pute.
« - Non ! je tai expliqué, non. Aujourdhui, nous savions que cétait toi. Nous sommes allés trop loin. Excuse-moi mon chéri, jaurais dû arrêter cette blague plus tôt.
Je suis troublé, ne sachant plus quoi penser. Caty me dit-elle la vérité ? Plausible, je nai pas été discret, elles ont pu me voir quand je suis rentré, mais de là à me jouer ce tour ? Sans Laure, Caty naurait rien fait, je veux bien le croire, je la connais tout de même. Dailleurs elle est partie rapidement quand je me suis montré, elle était gênée, surtout que deux mecs arrivaient, alors que Laure est restée sur place, qua-t-elle fait ? Je naurais jamais cru ça delle, elle nest certainement pas à son coup dessai.
Bon, réfléchissons calmement. Cette fois je veux bien ladmettre, elle savait que cétait moi mais il y a deux jours, je lui ai bien joui dans la bouche, elle ne me fera jamais croire quelle le savait, elle men aurait parlé après. Et son baiser avec Laure ce nétait pas de la frime.
Ma tête explose, je ne sais plus où jen suis. Drôle de tromperie. Elle a sucé un inconnu
mais je ne suis pas cocu puisque cet inconnu cétait moi
Seule lintention compte
Mais moi non plus je nai rien dit
Jaurais pu ne pas la laisser faire, intervenir dans la boutique
tout se bouscule dans ma tête
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Le soir, dans leur grand lit, David rumine encore ses pensées. Sa femme se fout-elle de sa gueule ? Il na même pas envie de la prendre dans ses bras avant de sendormir.
Le lendemain, il est agréablement réveillé par les baisers de Caty sur ses joues, son torse, son ventre, elle descend en lembrassant. Son pubis, Caty prend enfin sa queue entre ses lèvres, elle sapplique du mieux quelle peut, comme elle sait faire maintenant. En fermant les yeux, elle se revoit à genoux dans la cabine, les mêmes gestes, le même plaisir, cet inconnu quelle suce, cest bon, cest interdit. En lui tenant la tête, Laure la-t-elle vraiment e à cette caresse quelle jugeait sale jusque-là ? Non, elle doit se lavouer à elle-même, elle le désirait, elle voulait quun homme, celui-là ou un autre lui remplisse la bouche, jamais elle naurait pu le demander à David. Après que le baiser de Laure fut doux.
Perdue dans ses pensées quelle juge perverses, Caty sapplique à reproduire ce quelle a déjà fait, sans le savoir, à son mari. Elle tête le gland, enfonce la queue dans sa gorge jusquà hoqueter, caresse ses fesses, lui masse son petit trou, enfonce un doigt. David frémi, il na jamais été aussi dur, il bande à sen faire mal, enfin il explose dans la bouche de sa bien-aimée qui cette fois ne recule pas. Elle est fière delle, fière du plaisir quelle donne à son mari.
David seffondre en regardant sa femme avaler son foutre avec un grand sourire.
Caty est heureuse. Cette fois, cest bien son mari qui a joui en elle, qui lui a donné ce plaisir quelle croyait inaccessible, freinée dans ses élans par une pudeur ridicule.
Reprenant son souffle, David serre sa femme dans ses bras :
- Ben ma chérie ! Alors, cest comme ça que tu as sucé ton inconnu lautre jour ?
- Tu le sais bien, puisque cet inconnu, cétait toi.
- Tu nen savais rien.
-
- Nen parlons plus. Je taime
Je ne vais pas ten vouloir toute notre vie.
David dépose de petites bises dans le cou de Caty qui comme toujours, veut avoir le dernier mot :
- Je taime aussi mon chéri, et comme on dit « sucer nest pas tromper ».
- Ouais, Ouais ! Mais hier, tu ne voulais pas juste sucer, cette fois tu maurais vraiment trompé ?
- Je regrette mon chéri. Pardonne-moi, ma blague était idiote.
- Jaimerais pouvoir te croire.
Caty croise les doigts derrière son dos comme elle le faisait quand elle mentait à sa mère venue la gronder. En priant le Dieu des salopes de la protéger.
Les couilles bien vidées, létat de béatitude dans lequel se trouvait David, lempêcha de réfléchir sereinement. Ce qui sauva définitivement Caty.
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ÉPILOGUE
Le lendemain, David a entendu Caty au téléphone en grande conversation avec son amie, la discussion semblait orageuse, elle a raccroché avec rage. Depuis, elle a préféré ne plus revoir Laure, pour tout oublier.
Pour se venger, David avait envisagé daller voir Patrice, le mari de Laure, pour tout lui raconter. Caty a réussi à len dissuader en lui laissant croire que cest avec son accord que Laure se rendait régulièrement dans ce sex-shop. Choqué par cette révélation quil na pas mise en doute, il a préféré sabstenir, il aurait eu lair malin.
Au retour de vacances, la vie a repris son cours. David a préféré ne plus en parler. Sa situation nest pas simple, être trompé sans être cocu, ce nest pas banal. Il a admis que Caty a pu se laisser entraîner, par faiblesse. Aimant sa femme, il a fini par pardonner, sans savoir exactement ce quil y avait à pardonner.
Au lit, leur accord est de nouveau parfait, mieux quavant, Caty ne suce plus du bout des lèvres, leurs étreintes sont toujours passionnées.
Lannée suivante, en vacances à la Grande-Motte, David et Caty, toujours complices, ont repris leurs petits jeux coquins. Elle sort souvent jupe courte ou avec un chemisier transparent, excitée par le regard de ceux qui devinent sa poitrine libre et ses tétons incrustés dans le fin tissus de ses robes.
Un jour en fin daprès-midi, ils passent devant un sex-shop dont la vitrine clinquante attire leur regard. Caty rougit. David remarque la publicité sur la vitrine « Nouveauté : cabines individuelles, à deux ou plus ».
Leurs yeux se croisent. David tire sa femme par la main et lentraîne malgré elle dans cet antre de la luxure. Passage rapide devant les sex-toys, David achète une petite nuisette coquine, et sans attendre laccord de Caty, il lentraîne dans les cabines du sous-sol où plusieurs hommes tournent sans but, attendant la bonne aubaine.
Caty tremble, son mari aurait-il une idée derrière la tête ? Que veut-il faire ?
Une fois la porte fermée, David déshabille sa femme, lobscurité est sa complice. Elle essaie la nuisette et prend des poses, se prenant au jeu de son mari. David ouvre son pantalon. Caty a compris, elle se penche et prend son mari dans sa bouche. Quelques va-et-vient entre ses lèvres suffisent, elle avale sans hésiter le foutre de son mari qui a joui en lui tenant la tête.
Il la prend dans ses bras, lenlace, la caresse, ils sembrassent blottis lun contre lautre. La main de David entre ses cuisses, Caty sent son mari reprendre de la vigueur. Il la retourne, elle se cambre, et sursaute quand il senfonce dun coup dans sa chatte.
Tandis quil la pilonne en la tenant par les hanches, Caty ferme les yeux et goûte son plaisir en repensant à lannée dernière.
Des coups sont frappés contre la paroi de la cabine :
« - Y a quelquun ?
David et Caty se taisent, ne plus faire de bruit. Ils voient alors une bite bien dressée se pointer dans le Glory Hole.
« - Je suis là !
Complice, ils pouffent de rire. David embrasse sa femme tout en continuant à aller et venir au fond de sa chatte, toujours plus loin, toujours plus fort. Caty se crispe sur la bite de son mari qui la possède, il se répand en elle déclenchant un orgasme qui la secoue. Oubliant le lieu où ils se trouvent, elle se mord les lèvres pour ne pas crier.
Dans la cabine à côté, le pauvre gars oublié a débandé, sa queue pend lamentablement au travers de ce trou pas très glorieux.
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